"J’ai fait comme tout le monde, j’ai embrassé le Mur, le Mur m’a embrassé, il a pris de mes nouvelles, moi des siennes, je lui ai passé le bonjour de toute la famille, il ne m’en pas donné concernant la sienne, dommage, puis j’ai glissé ma liste de vœux entre ses pierres fraîches, être augmenté par Slate, voir Saint-Étienne devenir champion d’Europe, avoir d’autres lectrices de mes romans que les amies de ma mère.
J’attends toujours."
Der französische Schriftsteller Laurent Sagalovitsch erklärt in seinem Blogeintrag "Jérusalem, un asile à ciel ouvert" (31. Oktober), warum er für Jerusalem so geschaffen ist wie Mutter Teresa für die Führung eines Bordells.
J’attends toujours."
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